Alors alors...
D'abord il faut quand même que je dise que j'ai été frappé par le dieu des surclassements de places d'avion à l'aller ET au retour, donc ce fut fort confortable, j'ai passé 2 fois 11 heures à regarder des films sur mon écran personnel et à manger des gateaux apéritifs avec mon siège en mode lit
Mais tout ça n'a rien de particulièrement nippon.
Donc j'arrive a Tokyo quasiment intacte, je sors de ce charmant aéroport de Narita, et je goûte pour la première fois à ce climat particulier chaud et humide, qui faisait que j'avais l'impression d'avoir embarqué ma couette à chaque fois que je mettais le nez dehors.
Là je monte avec ma famille dans ce fabuleux limousine bus orange fluo, après avoir fait la queue bien en ligne.
C'est qu'ils sont très organisés ces japonais.
J'arrive a l'hotel, première chose que je fais, c'est essayer mon adaptateur de prise france-USA, pour savoir si je vais a Akihabara toute suite, ou si je peux attendre un autre jour.Je prie. et OUI ça marche*o*.
Je vais dans la salle de bain et découvre une étonnante cuvette de toilette high-tech avec des tonnes de boutons partout (oui il fallait que j'en parle^^).
Je sors dans le quartier d'Akasaka, et première chose qui me marque, le salaryman n'est pas qu'une légende urbaine, il est bien réel, et il est PARTOUT!
On rentre dans un restaurant sans avoir une idée très précise de ce qu'on y mangeait, et c'est la que j'entendis pour la première fois "irasshaimase", suivi d'un "... gozaimasu" (en 2 semaines, malgré l'avoir entendu approximativemet entendu 794832758497 fois, je n'ai toujours pas la moindre idée de qu'est-ce que ce mot avant gozaimasu).
Le lendemain je me réveille à 5h du mat' en pleine forme, et je regarde par la fenêtre la horde de salarymen gagnant leur lieu de travail. Je regarde la télé, je vois la pub de Wii party avec Arashi, la pub pour le mascara avec Jun Matsumoto de Arashi et la promo du film Gantz, avec Kazunari Ninomiya de Arashi. Et une pub TERRIBLE pour des chewing-gums, qui m'a fait chanter pendant tout le séjour "Kishilishh, kishilishilishh..." (la voila d'aileurs->https://www.youtube.com/watch?v=LKnuuCELywg ^^)
Vers 9h on prend le métro qui est hyper sécurisé, beaucoup de gens dorment dedans d'aileurs, sans avoir peur qu'on puisse leur prendre leurs affaires.
On arrive au Palais Impérial qui bien sur, est fermé ce jour la, parce que sinon ça serait pas drôle bien sûr. On fini dans un McDo avec les Beatles en fond sonore (pas très typique^^^).
Après avoir fait le musée d'art moderne, on reprend le métro pour arriver à Shibuya. On tombe sur Hachiko le chien qui a attendu son maître toute sa vie et un peu plus loin, le fameux carrefour où traversent chaque jours des milliers de personnes.
Première rencontre avec ce merveilleux MERVEILLEUX Shibuya 109, immeuble de 8 étages qui ne comporte QUE des magasins pour filles. passage au Shibuya 109 2 dont le haut est consacré aux hommes.
Bon je vous avouerais qu'à cet étage j'étais quand même plus interressé par les acheteurs de chemises que par les chemises en elles même hein:p.
On finit la matinée au Burger King (Oui, ma famille apprécie la cuisine typique japonaise^^)
Tout les gens sont hyper bien habillé, et de façon super complexe, avec moult superpositions, chaussettes montantes et accessoires variés. Moi et ma sobre robe à étoile on s'est sentis un peu seuls^^.
L'après midi après m'être débarrassé des personnes avec qui je partage des liens de parenté, je retrouve Eternal Kami a Harajuku. Elle m'emmène dans cette merveilleuse Takeshita street, et me fit regretter de ne pas avoir penser à emprunter quelques espèces sonnantes et trébuchantes à mes créateurs. Surtout chez Bodyline, avec la musique TechnoDisney et des robes SUBLIMES à prix tout petit.
Le lendemain, j'y revient, avec mon père.et la carte de crédit aussi^^
Je vous passe gracieusement les 2 jours suivants à Tokyo, composés d'un énorme coup de soleil sur le dos (j'ai compris pourquoi toutes les filles portaient des T-shirts sour leurs robes^^), de nombreux kilomètres, à pieds et en métro, de distribution de nombreuses pubs, sous forme d'éventails et de paquets de mouchoirs, de takoyaki, de thé vert glacé au Matcha pas très sucré chez MOS le mcdo nippon, de trouvage de sosies de gens célèbres (comme les très marquants Masashi-salaryman, Masashi-Shun-Oguri, Rui-de-SCREW-vendeurs-de-costumes, et un très grand nombres de Shun-Oguri), et bien sur de Arashi, qui ont leur propre émission de télé et qui sont affiché en GEANT a la sortie du métro de Roppongi... ( A Roppongi il y a d'ailleurs une ENORME sculpture d'araignée surnommée affectueusement Maman -_____-')
Jour 4, on active le JR pass et on va a Kamakura, où il ya un gigantesque bouddha, et la plage.
Je tient a préciser que dans les lignes JR, il y a des écrans sur lesquels sont diffusés des pubs en boucle, dont la pub Wii party, avec Arashi.
Le lendemain, on va à Kyoto en Shinkansen. Mais il y avait trop de brume pour qu'on puisse admirer le mont Fuji:/
On monte dans un taxi pour aller jusqu'à l'hotel, et la SURPRISE. Bienvenue dans le Kansai. Je n'ai pas compris le moindre petit esprit de mot de ce que m'a dit le chauffeur, qui ne parlait pas anglais en plus. finalement il fini par comprendre l'adresse et on arrive dans l'hotel, dans une chambre que je qualifierais de pas bien grande^^
2ème surprise: Kyoto ressemble beaucoup plus à une grande ville que ce que je pensais, ça n'a rien de la petite ville ULTRA traditionnelle dont on m'avait parlé-_-'
Là nombreuses visites, utilisant le bus, dont la moyenne d'âge à l'interieur devait être d'approximativement 75 ans...
On a trouvé la bas un bar a sushis rigolo, ou quand ce qu'on veut n'arrive pas assez vite, on peux le commander et il arrive à la table par un mini-Shinkansen xD
2 jours plus tard, on arrive à Nara, en éspérant y trouver la petite ville traditionnelle japonaise qu'on pensait voir a Kyoto. C'était pas ça non plus. Mais la ville à quelque chose d'extraordinaire, puisqu'elle est remplie de daims en liberté qui gambadent joyeusement entre les temples et les bouddhas*o*
Le dernier jour on passe à Osaka pour voir comment c'est. Et on attérit dans un centre commercial climatisé^^
Ensuite, retour à Tokyo, mais à Ginza cette fois. Où j'ai passé un temps fou à l'applestore à faire joujou avec les i-pads^^.On passe faire quelques emplettes chez uniqlo (dont un yukata que j'ai eu soldé^^) avec un adorable vendeur qui ne devait pas dépasser le mètre 50. Je ne peux pas faire autrement que passer au Sanrio store pour célebrer comme il se doit les 50 ans d'existence de la créatrice de Hello Kitty. Et on teste les nouveautés chez Sony, dont beaucoup de télés 3D.
On prend le métro pour aller jusqu'au marché au poisson, qui nous a coupé l'envie de manger des sushis. A la télé, encore Arashi (ils sont PARTOUT*o*), et je passe une heure et demi à loucher sur l'immonde collant marron que porte Jun matsumoto.
On va a Akihabara, geekesque, avec des passages couverts remplis de vendeurs de composants électroniques-__- . N'étant pas à fond dans les condensateurs, on a vite changé de quartier^^
Dans Ginza, , on a trouvé un restaurant de tempuras, et un autre qui fait des plats ultra épicés. Mais ça on ne le savait pas en commandant d'après les photos xD. Il faut dire qu'avec mon japonais niveau 0 et l'anglais de la serveuse, c'était pas facile facile de se comprendre ( on a cru qu'à 19h30 elle nous disait qu'il n'avaient plus de riz, alors que la plupart de leur plats en comportaient o_O).
On prend une ligne de métro privée spéciale pour aller à Odaiba, construit sur un terre-plein dans la baie de Tokyo pour aller au Miraikan, the "museum of emerging science and technology" et on rencontre moult français la-bas. Et on a fais la connaissance de Asimo le robot Honda qui parle beaucoup mieux japonais que moi et court à la façon d'une personne d'âge avancé.
Je retient de ce pays que tout les gens étaient ultra accueillant, gentils, et honnêtes, malgrés le fait que nous n'étions que de pauvres touristes ne comprenant pas grand chose au hiéroglyphes devant nos yeux.
Finalement, on retourne à Narita, l'heure du retour tant redoutée ayant déja sonnée. On peine à faire comprendre à une personne travaillant à l'enregistrement que, non, nous n'allons pas à Taipei. Mais c'est dans le bon avion, en direction de Paris que je prend place en classe business, pleins de souvenirs en tête.
Bon. voila mon récit. Si vous avez réussi à lire mon gigantissime pavé jusqu'à la fin, ouaouh, je suis impressionnée *o*
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Enfin, même si ces chers citoyens nippons ne sont pas totalement bilingues, le principal, c'est tout de même de pouvoir se faire comprendre 
